Là où les champs s'étirent en doux mouvement, Les gens de la campagne vivent en harmonie, Avec la nature, leur précieuse compagnie.
Mais voici que surgit, tel un bruit de tonnerre, Une salle des fêtes, insolente, sans repère, Les gens de la ville, avides de liesse,
Ignorent la quiétude, leur fête ne cesse.
Les rires éclatent, les musiques résonnent, Les voix emportées par des airs qui étonnent, Mais pour les gens de la campagne endormie, Ces bruits sont des tourments, des plaintes infinies.
Un conseil aux futurs mariés : vérifiez que la salle que vous réservez est bien isolée ; même en pleine campagne il y a des voisins grincheux qui n'acceptent pas de voir la moitié de leurs week-ends gâchés par des cris, des basses, des pétards. Et lisez votre contrat, c'est souvent vous qui êtes responsables des nuisances.
Faut-il en passer par une fermeture avant de pouvoir aller en conciliation ?
"L’étude de l’impact des nuisances sonores prévue à l’article R571-27 du code de l’environnement est un document établi par un bureau d’étude dont le but est de prévenir les nuisances sonores de nature à porter atteinte à la tranquillité ou à la santé du voisinage. Elle étudie l’impact sur les nuisances sonores des différentes configurations possibles d’aménagement du système de diffusion de sons amplifiés. Cette EINS vise à prévenir les nuisances sonores de nature à porter atteinte à la tranquillité ou à la santé du voisinage."
Un collectif est composé de personnalités multiples, ci-dessous première version de la page d'accueil jugée un peu trop 'directe' par certains d'entre nous.
De nombreuses salles des fêtes doivent fermer en ville à cause des nuisances sonores. En 2022, le maire de Cerelles a été contraint de limiter l'usage de sa salle municipale.
Certains inconscients profitent de l'aubaine pour ouvrir des salles des fêtes plus ou moins sauvages à la campagne.